Une délégation belge au 67e Parlement Jeunesse du Québec

Si le Parlement Jeunesse Wallonie-Bruxelles fête déjà ses 21 ans cette année, il doit tout à son grand frère, le Parlement Jeunesse du Québec, qui organisait, lui, sa 67e édition du 26 au 30 décembre 2016. En effet, il y a une vingtaine d’années, un jeune belge qui avait participé au Parlement Jeunesse du Québec, plus connu sous les initiales « PJQ », ramènera dans sa valise le projet de créer un Parlement Jeunesse en Belgique. La suite de l’histoire, vous la connaissez, 21 ans après, on est toujours là !

Comme chaque année, 5 membres de notre Parlement Jeunesse ont eu la chance de représenter la Belgique au PJQ. La délégation belge fut emmenée cette année par Wissem Amimi, chef de délégation et composée de Ludovic Panepinto, Chloé Leroy, Sébastien Filori Gago et Marie Michotte.

Le voyage commença le 20 décembre à l’aéroport de Zaventem. Accueillis chez Hanene, une des futures membres de la délégation québecoise du Parlement Jeunesse, ils ont d’abord profité de quelques jours de tourisme à Montréal. Ils ont, entre autres, goûté à la célébrissime poutine ainsi qu’au sirop d’érable, flâné dans les rues enneigées de Montréal et fait un magnifique bonhomme de neige !

Quelques jours plus tard, ils ont rejoint en train la ville de Québec afin d’y fêter Noël, d’y visiter le Vieux-Québec en calèche et surtout, de participer au PJQ. Une expérience très enrichissante d’un point de vue personnel dans les échanges qu’ont pu avoir nos belges avec leurs homologues québecois.

Parmi les éléments les plus marquants pour nos 5 Belges : l’accueil incroyable reçu par leurs homologues québecois : une générosité et une chaleur de vivre, un accent tellement charmant, un PJQ beaucoup plus protocolaire que le nôtre (qui a suscité quelques petites blagues !), une nourriture très riche mais tellement bonne (merci les 5 kilos en trop !), un tour en hélicoptère dans les montagnes québecoises et l’agréable sensation de se sentir chez soi et déjà l’envie d’y retourner !

21 ans et un succès grandissant !

Cette année encore, le Parlement Jeunesse a battu ses records du nombre de candidature avec 550 candidatures !
Du 27 septembre au 18 novembre, l’équipe organisatrice n’a cessé de multiplier les stratégies de recrutement à travers non pas moins de 13 mini-simulations dans les écoles, une bonne centaine de descente d’auditoire dans les universités, énormément de collage d’affiches mais aussi des milliers de postes sur les divers médias.
Un grand merci à l’équipe organisatrice pour avoir tenu le coup durant les deux mois et demi de recrutement. La tâche ne fût pas facile mais leur rage et dévouement nous ont permis d’atteindre ce chiffre extraordinaire et d’avoir des profils de candidature des plus variés.

En effet, nous avons reçus de lettres de toutes provinces avec 29,6% de candidatures bruxelloises, 23,9% en ce qui concerne la province du Hainaut, 14% pour les provinces de Liège et du Brabant wallon. Les provinces de Namur et du Luxembourg se sont bien défendu avec 8% des lettres.
En outre des étudiants, bon nombre personnes sans emploi et de travailleurs n’ont pas hésité à postuler et composent donc 7% des candidatures.
Merci à tous ceux qui ont postulé pour avoir démontré leur intérêt pour le débat citoyen et les valeurs démocratiques !

La sélection ne sera pas facile. Mais grâce à cet énorme cru, nous pouvons assurer une simulation et des débats de qualité.

Plus que 2 petits mois avant d’y être !

Témoignage : Une simulation parlementaire, un voyage extraordinaire !

Oyé oyé braves gens ou joyeux étudiants, avez-vous déjà entendu parler de la Péjigonie ? Ce pays fictif situé en plein cœur du parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, aussi connue sous le nom de Communauté Française pour les puristes. Cette nation imaginaire a pour vocation de compiler plusieurs vertus dont les principales sont la tolérance, l’altruisme et l’ouverture aux autres peu importe leurs convictions et leurs croyances. Les plus cyniques d’entre vous m’interrompront en disant que je fais l’éloge d’un monde de bisounours. Et bien voyez-vous ce n’est pas tout à fait faux comme disait Karadoc mais pas tout à fait véridique non plus, la vérité se situant toujours au milieu du chemin. Laissez-moi éclairer votre lanterne sur cette expérience riche en couleurs et unique à plus d’un titre.

La simulation parlementaire du Parlement Jeunesse de la FWB fête cette année sa 21e édition. Elle se déroulera du 27 février au 3 mars 2017, lors des vacances de Carnaval, et est ouverte aux jeunes de 17 à 26 ans. Les frais de participation s’élèvent à 60 euros tout compris (logement et nourriture), une véritable pension complète. Le recrutement se termine le dimanche 20 novembre ! Pour postuler, rien de plus simple, il suffit de se rendre sur le site www.parlementjeunesse.be, de cliquer sur l’onglet « participer » et de nous rédiger une belle lettre originale transpirant la motivation. La sélection étant anonyme, chacun part sur le même pied d’égalité, avec nous pas de copinage politique ! Voici pour les informations pratiques. Mais que se cache-t-il vraiment derrière ces mots ? Un trésor digne du capitaine Jack Sparrow ? N’en déplaise aux chercheurs d’or, la réponse sera tout autre. Il s’agit plus simplement d’une expérience citoyenne indescriptible couplée à une aventure humaine particulièrement intense. Vous n’en avez pas encore conscience mais cette semaine changera votre vie car l’enrichissement emmagasiné ne pourra être quantifié.

Durant une semaine complète, vous découvrirez l’envers du décor parlementaire avec les débats en hémicycle, les réunions de commission statuant sur le décret, les chambres d’amendement pour finir en feu d’artifice avec le vote final sur les différents projets de loi proposés ! Nous traiterons cette année de plusieurs sujets en lien avec l’actualité.

Qui en effet n’a jamais rêvé d’un bouleversement total de l’échiquier politique digne d’une tornade afin de pouvoir assister à l’émergence non pas du populisme mais bien d’un nouveau système dominé par l’intérêt collectif ? Ne vous êtes-vous jamais dit que la politique devrait être un engagement citoyen et non un métier ou encore une dynastie? Notre premier décret promouvra le renouvellement nécessaire des institutions démocratiques en lien avec la dissolution des partis et une participation accrue de la population au processus législatif.

Le deuxième proposera une réforme du statut des artistes car ces derniers ont une place primordiale dans la société. La culture, trop souvent la grande oubliée et le parent pauvre de nos élus, est avec l’éducation un outil indispensable au fonctionnement harmonieux de nos démocraties. L’expression artistique a cette particularité de pouvoir rassembler les êtres humains du monde entier et de véritablement donner un sens au mot humanité. Les tragiques événements de cette année nous l’ont constamment rappelé.

La « crise » migratoire est également l’un des sujets brûlants du moment or nous proposerons un projet de loi créant un parcours d’intégration pour les primo-arrivants avec des droits et des devoirs. La problématique des réfugiés y sera également abordée, notre objectif étant de suggérer une totale refonte de la politique d’asile.

Vous souvenez-vous des multiples grèves à répétition dans les prisons en 2016 ? Le dernier décret proposera une refonte du système carcéral prenant mieux en compte les attentes des acteurs de terrain. Il présentera également de nouvelles pistes afin d’aider à la réinsertion des détenus, de lutter contre la récidive et d’augmenter la lisibilité des décisions de justice en rétablissant la perpétuité réelle.

Alors enfilez vos plus beaux habits et glissez-vous dans la peau d’un député, journaliste écrit ou présentateur de JT, photographe, caricaturiste ou caméraman afin de vivre de manière totalement immergée ce processus législatif sous un angle ludique. Au menu : des journées aussi remplies que les soirées, une adrénaline incroyable et de l’émotion à en faire pâlir les amoureux du Titanic. Lorsque la philosophie de comptoir rencontre la réalité du terrain, cela donne un cocktail détonnant. Chaque Péjigonien peut en témoigner, une fois la semaine passée, vous serez en manque de débats, de rencontres chaleureuses et intellectuellement stimulantes.

Notre simulation possède deux richesses indéniables : la première étant son côté apolitique. Chez nous, pas de président de parti qui vous tapera sur les doigts pour ne pas avoir suivi les consignes de vote. L’absence de partis joue évidemment un rôle considérable dans l’esprit des débats, chacun se voulant constructif afin de faire avancer les choses. Ici pas de posture d’opposition critique à outrance ou de majorité sourde aux idées n’émanant pas d’elles-mêmes. Chacun donne son avis en âme et conscience dans le respect et l’écoute de l’autre. En Péjigonie point de tablettes ou d’ordinateurs présents en réunion, point de smartphone ou de coups de téléphone permis lors d’une intervention, point de déplacements intempestifs ou de papote démesurée entre collègues, le respect prime avant tout. L’important n’est pas d’adhérer aux idées de l’autre mais bien de l’écouter et de réfléchir par rapport à ses arguments. La seconde a trait aux nombreuses délégations étrangères venant enrichir l’oralité de nos débats de par leur vécu diffèrent du nôtre. Nous recevons ainsi des personnes du Jura en Suisse, d’Afrique du Nord, du Sénégal et de Louisiane.

Que vous soyez étudiant, jeune travailleur ou en recherche d’emploi, n’hésitez pas à postuler car nous sommes en quête de profils variés ! Venez débattre en notre compagnie et prenez-vous au jeu car avec nous le sort est toujours favorable ! Surprenez-vous lors de vos prises de parole en défendant ou combattant à corps et à cris, becs et ongles, les différents décrets. Pas besoin d’éloquence pour s’exprimer, juste de la sincérité. Ni de connaissance en droit ou en politique pour participer, seul compte votre personnalité. Vos interventions provoqueront parfois des rires, ou des désapprobations voire encore des acclamations. Il s’agit aussi d’un excellent exercice oral délicat à maitriser car le temps de parole est limité à deux-trois minutes par intervention.

Si vous aussi vous refusez l’idée que « jeunesse » rime avec « désenchantement » mais soit plutôt associée à l’espérance, alors embarquez avec nous pour une traversée endiablée, véritable ode à l’humanité. Au sein d’un monde semblant trop souvent partir en dérive sans canot de sauvetage, devenez le phare non pas d’Alexandrie mais de la Péjigonie ! Car l’avenir n’est pas effrayant, il peut être excitant. De plus, pour une fois qu’on vous encourage à simuler, ne vous faites pas prier. En conclusion, prouvez-nous que la jeunesse a le goût de l’aventure ! La société de demain a plus que jamais besoin de véritables citoyens alors prenez votre bâton de pèlerin direction le chemin péjigonien !

 

Romuald La Morté, 24 ans, La Louvière, membre de l’ASBL Parlement Jeunesse.

Témoignage : une jeune travailleuse en Péjigonie

Le Parlement Jeunesse, j’en avais entendu parler depuis mes 17 ans, par une étudiante en institutrice maternelle qui s’y était “éclatée”. Cela avait l’air sympa comme expérience, génial même, et puis…. J’ai oublié. Je m’engage alors dans la représentation estudiantine, débats encore et encore, joue la stratégie, me prends des coups dans le dos, en envoie à mon tour et finit par démissionner, dégoûtée par tant de coups tordus. Cinq ans plus tard, une affiche fait remonter ce souvenir à la surface. J’envisage d’y postuler, je croise des anciens qui m’encouragent… Et trouve un autre engagement pour cette semaine. L’année suivante, je vais un peu plus loin sur le chemin qui mène au fabuleux monde du PJ : j’en arrive même à remplir le formulaire d’inscription, écrire ma lettre de motivation… Et au dernier moment, j’hésite : être en 2e master, n’est-ce pas trop tard pour participer à ce genre d’expérience ? J’ai déjà pu voir combien l’engagement politique des jeunes pouvait parfois être vicieux, ai-je vraiment envie de m’y confronter à nouveau ? Ma main, retombe, les secondes passent, et une année de plus s’envole en emportant ma candidature avec elle. Cela me semblait définitif : en effet, l’année d’après, je devais me lancer dans la vie active, et je voyais mal comment la combiner avec toutes mes activités.

Puis, l’année passée, une Marie-la-bonne-fée m’encourage. J’ose enfin écrire une lettre de motivation originale et décalée, dans laquelle je mets toute ma passion et toutes mes idées. Quelques mois plus tard, en recevant une réponse positive du Parlement, j’ai littéralement sauté de joie ! Or, j’étais au chômage depuis trois mois, et je me suis rendue compte que mes parents ne me laisseraient jamais y aller si je ne trouvais pas d’emploi. Mais si j’en trouvais un, il me sera quasi impossible de participer à la simulation ! Alors, j’attends et j’espère trouver une solution. Le 4 janvier, j’apprends que je suis prise comme secrétaire dans une école : miracle ! J’aurai mes vacances de Carnaval ! Un mois plus tard, je me retrouve valise à la main, prête à commencer la belle aventure.

Alors, certes, la plupart des participants sont plus jeunes que moi. On est peu dans la vie active. Ce qui signifie que notre rôle est d’autant plus important, car nous avons d’autres expériences de vie à partager. Ils sont plus jeunes mais nous n’avons plus l’âge où la maturité est déterminée par notre date de naissance. Souvent, on s’étonne dans les discussions : « Ah bon, tu n’as que 21 ans ! » « Non ?! Tu en as déjà 25 ? ». Fous rires garantis ! Les débats sont riches, c’est ça, l’important.

Il est vrai que je viens de la filière d’histoire, qui n’est pas la première à laquelle on pense quand on entend « parlement ». Pourtant l’étude des sociétés d’autrefois ne doit pas occulter l’étude de notre monde tel qu’il est actuellement. Elle doit permettre de tirer les enseignements du passé afin d’établir une société qui serait plus conforme à nos souhaits.

La première personne qui m’avait conseillé de postuler au Parlement Jeunesse faisait des études d’institutrice maternelle, parce que les enfants, les jeunes c’est l’avenir. Elle voulait me montrer qu’il n’est pas nécessaire de faire des études de droit ou de science po pour avoir une opinion. Pas mal de nos élus n’ont d’ailleurs pas fait ces études. Et c’est pour ça qu’on vit en démocratie et pas en technocratie.

Par ailleurs, il faut admettre que si tout le monde peut avoir un avis sur diverses problématiques, nous sommes peu nombreux à être suffisamment passionnés que pour en débattre. Aussi, le Parlement Jeunesse permet tout simplement de rassembler des juristes, historiens, instituteurs, pilotes, kinésithérapeute, dentistes, élèves, professeurs,… qui sont intéressés par leur rôle de citoyen au même endroit. Après tout, partager sa passion avec d’autres, quoi de plus enrichissant ?

Certes, les enjeux ne semblent pas concrets et la simulation pas assez réaliste car il manque les partis et les lobbyistes. Ce manque d’enjeux réels nous permet justement de pouvoir débattre en toute sérénité, sans stratégies politicardes, sans chantage, coups bas et tutti quanti. Le Parlement Jeunesse m’a redonné foi dans la capacité des jeunes à débattre respectueusement, à croire en leurs propres idées tout en écoutant celles des autres. Ne pas avoir de parti oblige le jeune à se confronter à ses idées, à les assumer ou à pouvoir les modifier. Lorsque nous votons, nous nous posons réellement la question : est-ce que c’est une vision de la société que j’ai envie de défendre ? Et quels plus grands enjeux que de permettre à une centaine de jeunes d’établir leur propre opinion en tenant compte de celle des autres ? De leur apprendre à dire cette phrase bien connue (dont on ne sait plus si elle vient de Voltaire ou non) : « Je ne suis pas d’accord avec vous, mais je me battrai pour que vous puissiez le dire » ?

Effectivement, cette semaine est si riche en émotions qu’elle en est fatigante. Car éclater de rire, craindre de prendre la parole en public, rassembler son courage pour le faire, applaudir les idées des uns et des autres et partir à la rencontre de tout le monde, c’est épuisant. Mais il s’agit d’une fatigue saine, meilleure que celle éprouvée après avoir passé la semaine de vacances à regarder la saison 1 et 2 de Game Of Thrones. Meilleure que celle d’avoir fait la fête trois jours de suite jusqu’à quatre heure du matin pour ne se souvenir de rien au final. Meilleure enfin que de rester toute la journée devant son Facebook à râler contre le système, les politiques et « tous ces idiots qui sont pourris qui ne comprennent rien de toute façon et ne pensent qu’à eux ».

En effet, cette semaine au Parlement Jeunesse, elle permet de grandir, d’évoluer, de s’ouvrir, de comprendre que les autres nous apportent beaucoup mais que nous, nous pouvons également offrir énormément aux autres.

Je m’adresse désormais à toi, qui hésite à postuler en te disant que ce n’est pas pour toi, que tu ne connais rien au système parlementaire ou la politique, ce n’est pas pour toi.

Avec, le Parlement Jeunesse, tu vas pouvoir être plus sûr de toi et de tes opinions ou éventuellement les remettre en question. Tu vas découvrir un processus citoyen, une centaine de jeunes ouverts, idéalistes et respectueux, mais surtout tu vas te découvrir toi-même (merci à notre ministre Wissem Amimi pour cette réflexion !). Ne penses-tu pas que la réalisation d’un tel saut dans ta recherche d’une identité citoyenne vaut le dépassement de tous tes doutes et inquiétudes ?

Alors, maintenant, prends ta plume, ton bic ou ton ordi et rédige-nous la plus belle, la plus originale et la plus décalée lettre de motivation que tu peux. Montre-nous toute la richesse que tu peux nous apporter, montre-nous tout ce que nous pouvons t’offrir ! Prends ton élan et…Vas-y ! Saute !

Eloïse Moutquin, 25 ans, chercheuse en histoire de l’urbanisme

Il n’y a pas d’âge pour devenir citoyen !

Les vacances parlementaires ont été l’occasion de profiter un peu des locaux de l’Hôtel de Ligne pour organiser des simulations d’un autre genre. En effet cet été, le PJWB a tenu une session spéciale pour une délégation étrangère composée essentiellement d’enfants, sous l’initiative de l’Office de la Naissance et de l’Enfance (ONE) dans le cadre de la 13e conférence annuelle d’Eurochild. Nos jeunes citoyens ont eu l’occasion de débattre sur le décret visant à limiter les effets de la reproduction sociale dans le milieu scolaire.
Comme quoi, il n’est jamais trop tard, ni trop tôt pour s’initier à la démocratie !

Le PJ à la rencontre des élèves du Collège Saint-Augustin

La première mini-simulation de l’année 2016 a eu lieu au Collège Saint-Augustin d’Enghien, ce vendredi 18 mars. A cette occasion, 52 étudiants de rhéto ont eu l’occasion de se prononcer sur une réforme de l’héritage. Les échanges autour de la motion de la Ministre Constance du Bus furent vifs et d’un excellent niveau.
Remercions les professeurs et les élèves pour leur participation active à notre initiative !

Notre site-web fait peau neuve!

Qui dit nouveau Conseil d’Administration dit nouveaux projets ! Et pour commencer, nous avons envoyé notre site-web se refaire une beauté!

Après une semaine passée à se faire relooker par notre webmaster, Samuel Desguin, parlementjeunesse.be est  de retour…méconnaissable. Il en a profité pour faire un lifting, passant de 72 pages à… 9 pages ! Parlons moins, parlons mieux ;) Sa structure et son design on été entièrement repensés pour promouvoir la clarté et l’accessibilité de l’infromation. Il est également désormais à même de servir de support à nos projets suivants: le nouvel onglet « alumni » nous servira de base pour rassembler la communauté PJ, une visibilité accrue accordée aux sponsors devrait nous permettre d’augmenter leur intérêt pour notre ASBL, un onglet « historique » en construction nous servira à mettre à disposition du public l’ensemble des archives PJ (décrets, échos, JP d’il y a dix ou vingt ans…), etc.

Néanmoins, il y a encore beaucoup de travail, et parlementjeunesse.be est impatient d’entendre vos commentaires afin de s’améliorer! N’hésitez pas à utiliser le formulaire de contact pour nous dire ce que vous en pensez, et ce que nous pourrions améliorer.